Sous le haut patronnage de Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Président de la République et champion de la masculinité positive, le Ministère du Genre, Famille et Enfant à travers sa Cellule Technique Mixte de la Masculinité Positive a organisé le lundi 31 Mars au salon rouge de l'immeuble du gouvernement la 1 ère journée nationale de la masculinité positive sous le thème : masculinité positive : voie vers la paix et l'égalité Homme -Femme. Après adoption par le conseil des ministres en 2024, &nbsp;dans le cadre de la stratégie nationale de promotion des droits des femmes, la RDC a célébré sa première journée nationale en présence des députés et sénateurs signataires de l'acte d'engagement pour la participation politique des femmes dans la gouvernance démocratique. Ces parlementaires se sont engagés à accompagner les efforts de politique de promotion d'égalité hommes - Femmes et les initiatives autour de la masculinité positive.cette initiative vise à promouvoir des modèles masculins responsables , respectueux et égalitaires.

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Adopté par Le Conseil des Ministres dans le cadre de l'égalité des genres, la RDC a célébré ce lundi 31 Mars, à l'Hôtel du Gouvernement, la première Journée Nationale de la Masculinité Positive.

Célébration de la première journée nationale de la masculinité positive

En marge des activités liées au mois dédié à la femme, le ministère du genre, famille et enfant avec l'accompagnement de ses partenaires techniques et financiers ont organisé une conférence débat ce samedi 29 Mars à l'amphithéâtre de l'Isp Gombe sous le thème Entrepreneuriat féminin, enjeux et perspectives. Objectif de cette activité, Sensibiliser &nbsp;les futurs cadres du pays sur les défis et les opportunités de l’entrepreneuriat en RDC en vue d’un accès inclusif des femmes et des jeunes dans le secteur économique du pays. Plusieurs panelistes ont défilé la tribune avec divers sous thème, question &nbsp;d'éveiller et de sensibiliser les futurs entrepreneurs. L'on note que l'entrepreneuriat féminin en RDC présente à la fois des défis importants et des perspectives intéressantes notamment en raison du contexte socio-économique et politique Complexe du pays. Plusieurs autorités ont pris part à cette conférence notamment la Directrice Générale de l'ISP Gombe, la SG à la jeunesse représentante de la Ministre, le dircaba à l'ESU représentant de la Ministre. Pour la SG au Genre, Famille et Enfant Esther kamwanya représentante de la Ministre Léonnie KANDOLO OMOYI, le gouvernement a un rôle crucial à jouer dans la création d'un environnement favorable à l'entrepreneuriat qu'il s'agisse d'encourager l'accès au financement, de simplifier les démarches administratives ou de promouvoir une culture de l'innovation. A la fin plusieurs recommandations ont été faites entre autres la Formalisation de l'entreprise à partir du guichet unique et l'amélioration de l'éducation financière pour une meilleure gestion de chiffres d'affaires à travers le coaching, le mentorat.

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Conférence débat :  thème Entrepreneuriat féminin, enjeux et perspectives.

En marge de la célébration de la journée internationale des droits des femmes célébrée le 8 Mars de chaque année, le Ministère du Genre, Famille et Enfant en collaboration avec les femmes de l’université de Kinshasa ont organisé le lundi 24 mars au chapiteau de la colline inspirée, une matinée d’échanges qui a réuni plus de 4000 étudiants. C’est sous le thème « Femme, Paix et Sécurité », que différentes oratrices de cette conférence ont défilées pour montrer &nbsp;l’importance de la jeunesse pour l’avenir de la RDC .Plusieurs sous thèmes ont été développé entre autre la situation géostratégique de la RDC, source de l’insécurité à l’Est du pays par la Professeure Nicole NTUMBA BWATSHIA, l’impact de la guerre sur l’autonomisation de la femme congolaise et les déplacements forcés par la professeure Marie Claire Yandju Dembo pour ne citer que ceux-là. L’objectif principale de cette conférence, promouvoir l’implication des femmes dans les processus de paix, de sécurité et de réconciliation afin de garantir un avenir plus inclusif , juste et durable pour toutes les communautés congolaises. Plusieurs intervenantes ont défilé la tribune à savoir la secrétaire générale à la recherche qui a démonter comment la guerre a un impact dans la vie de la femme congolaise qui est considérée comme armes de guerre et l’infiltration à long terme des enfants nés suite aux viols.(génocides sexuelles). De son côté, la directrice de cabinet au ministère du genre, qui a parlé au nom de la Ministre Léonnie KANDOLO OMOYI, a souligné que « la paix est une condition essentielle au développement. Il est donc impératif de reconnaitre et de renforcer la participation des femmes à tous les niveaux des processus de paix et de gouvernance sécuritaire ». La Ministre de l’enseignement Supérieure et Universitaire, Marie Therese Sombo, a souligné l’importance de l’autonomisation et de l’éducation des femmes, qu’elle considère comme des leviers essentiels de prévention des conflits. Au finish, plusieurs recommandations ont été faites au Ministère du Genre Famille et Enfant notamment d’assurer une prise charge holistique des survivantes des conflits armés dans l’Est de pays et la mise en place des mécanismes de prévention. Aussi une implication des femmes dans les programmes de résolution des conflits est indispensable.

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Matinée d’échanges  

C'est au cours d'un culte œcuménique et dans un contexte de guerre d'agression Rwandaise qui a brisé la vie de milliers de familles à l'Est du Congo que Kinshasa a célébré samedi 8 Mars 2025 au palais du peuple la journée internationale des droits des femmes. Sous une organisation assurée par Léonnie KANDOLO OMOYI, Ministre du Genre Famille et enfant et les partenaires techniques et financiers qui accompagnent le ministère, la célébration de la journée a été caractérisée par les prières des représentantes de différentes confession religieuse et sous la prédication de pasteur Joëlle kabasele qui a fait un véritable hymne à la paix. Des milliers de congolaises et congolais ont imploré la grâce de Dieu et sa miséricorde pour le retour de la paix dans le pays. Dans le discours à la nation, Léonnie KANDOLO OMOYI Ministre du Genre Famille et enfant a décrit un contexte de guerre qui caractérise la célébration de cette journée, une guerre imposée par le Rwanda et ses supplétifs du 23/ AFC et qui a occasionné la crise humanitaire dans notre pays. Basée sur la cupidité et la convoitise de nos richesses a poursuivi la patronne du genre, cette agression soumet les femmes et les jeunes filles congolaises à des traitements qui leur retirent leur droit à la vie. La première Ministre Judith Suminwa représentante personnel &nbsp;de son excellence Félix Antoine TShisekedi TSHILOMBO président de la république, dans son mot de circonstance, sur les graves violations des droits humains dont sont victimes les femmes et les filles dans les Zones occupées, a réaffirmer l'engagement du gouvernement à renforcer les politiques de protection et de soutien aux victimes tout en insistant sur l'importance de l'autonomisation des femmes. Cependant, une récolte a également eu lieu dans le but de renforcer les efforts de soutien humanitaire et de solidarité envers ces vaillants fils du pays qui risquent leur vie pour protéger le pays et ses citoyens. Par ailleurs, tout en saluant le courage des FARDC et des wazalendo, la ministre du genre famille et enfant invite les congolais à les soutenir ainsi que leur commandant suprême, Félix Antoine TShisekedi dans ses efforts pour la pacification du pays.

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Journée internationale des droits des femmes : Le Ministère du Genre, Famille et Enfant a organisé un culte œcuménique.

Le rôle du ministère 

Du statut de la femme, de l'enfant, de la famille et vulgarisation de toutes études et recherches en rapport avec leurs conditions.

Protection et Promotion

Avec les Ministères ayant dans leurs attributions les Droits humains, l'enseignement tant primaire, secondaire et technique que supérieur et universitaire, la justice, la santé ainsi que les affaires sociales pour améliorer le statut de la femme et de l'enfant.

Collaboration

Du cadre légal et institutionnel pour la participation de la femme au développement de la Nation et promotion d'une représentation significative de la femme au sein des institutions nationales, provinciales et locales. 

Règlementation

Le Ministère du Genre, Famille et Enfant, a l'initiative et la responsabilité des actions suivantes :&nbsp;

Avec ce document, le pays dispose d’un cadre de référence pour toutes les actions de prévention et de prise en charge des victimes et des survivantes des VBG. La Stratégie prend en compte les réalités de l’ensemble des provinces du pays et&nbsp; les autres formes de violences hormis les violences sexuelles&nbsp;telles que &nbsp;les violences domestiques, les mariages précoces, la privation des terres aux femmes et le déni d’héritage.

Cette stratégie a pour objectif de contribuer à la prévention et à l'éduction face aux violences sexuelles et liées au genre ainsi qu'à l'amélioration de la prise en charge holistique des victimes et des survivantes, y compris la rééducation des auteurs de violences sexuelles et liées au genre.

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Stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre (SNVBG

A ce titre, l'Agence est chargée notamment de lutter contre l’impunité, de renforcer la prévention et la protection, d’appuyer les réformes de la sécurité et de la justice, de donner des réponses aux besoins des victimes et des survivantes ainsi que de gérer efficacement les données et les informations en la matière.&nbsp;

L'Agence nationale de lutte contre les violences faites à la Femme et à la Jeune et Petite Fille a été créée au sein du ministère du Genre, de la Famille et de l'Enfant et a pour mission, l'exécution de la Stratégie nationale de lutte contre toutes les formes des violences basées sur le genre, spécialement celles faites à la femme, à la jeune et à la petite fille.

COD-101422_Agence.pdf

Décret n° 09/38 du 10 octobre 2009 portant création, organisation et fonctionnement de l'Agence nationale de lutte contre les violences faites à la Femme et à la Jeune et Petite Fille

La Loi n° 87-010 du 1 er août 1987 portant Code de la famille demeure, près de trente ans après sa promulgation, est un monument juridique ayant traité de toutes les questions relatives aux droits de la personne, dans ses rapports avec la famille. Elle est le produit de l’unification et de l’adaptation aux valeurs authentiques congolaises des anciennes règles héritées de la colonisation. La réforme alors opérée avait le mérite de concilier les éléments du droit moderne et ceux du droit traditionnel pour mieux refléter les aspirations légitimes d’un peuple en pleine mutation, notamment dans le domaine du droit de la famille, du droit des successions et du droit des libéralités.&nbsp;Plus de deux décennies après son application, le Code de la famille révèle cependant plusieurs faiblesses, notamment sur la question spécifique du statut de la femme mariée et de l’enfant. Sur la capacité juridique de la femme mariée, le code l’a limitée d’une manière excessive et discriminatoire en soumettant tout acte juridique posé par elle à l’autorisation maritale. En ce qui concerne la situation juridique de l’enfant, le Code a fait, de manière non objective, une distinction entre le garçon et la fille quant à leur âge nubile et autorisé leur émancipation automatique par le mariage sans tenir compte de leurs intérêts.&nbsp;Il a paru nécessaire d’adapter le Code aux innovations apportées par la Constitution du 18 février 2006 et à l’évolution de la législation nationale, particulièrement la Loi n° 09/001 du 10 janvier 2009 portant protection de l’enfant et la Loi n° 15/013 du 1 er août 2015 portant modalités d’application des droits de la femme et de la parité. La loi sur la protection de l’enfant a notamment soustrait l’enfant de la même juridiction que les adultes pour les soumettre à la compétence du Tribunal pour enfants.&nbsp;De même, la loi sur les droits de la femme et la parité a promu la concertation et la protection mutuelle en lieu et place de l’autorisation maritale. Prise conformément à l’article 40 de la Constitution, elle s’inspire aussi des traités et accords internationaux ratifiés par la République Démocratique du Congo en matière des droits fondamentaux. De manière spécifique, elle vise à conformer le code de 1987 aux obligations souscrites par la République dans les deux Pactes internationaux de 1966 relatifs aux droits de l’homme, dans la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, dans la Convention sur l’élimination de toutes les formes discriminations à l’égard de la femme ainsi que dans la Convention relative aux droits de l’enfant.

Loi modifiant et complétant la Loi N°87-010 du 1er AOUT 1987 Portant Code de la Famille.

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Conférence débat : thème Entrepreneuriat féminin, enjeux et perspectives.

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